L’engagement indéfectible du Maroc envers l’intelligence artificielle (IA) a été récemment mis en lumière dans un article, présentant les efforts dévoués du royaume par la délégation marocaine lors d’une réunion publique du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine, tenue à Addis-Abeba, en Éthiopie.
L’article explique que le Maroc est à l’avant-garde du développement de l’IA à l’échelle mondiale. En jouant un rôle proactif dans la création de la première résolution de l’ONU sur l’IA, le Maroc a démontré son grand intérêt et son implication dans ce domaine.
La même source a souligné la remarquable implication du Maroc dans la rédaction de la résolution révolutionnaire de l’ONU sur l’IA, intitulée « Exploiter le Potentiel des Systèmes d’IA Sûrs, Sécurisés et Fiables pour le Développement ».
Cette réussite a été « une source de fierté pour la délégation », selon l’article, ajoutant que la résolution, coparrainée par le Maroc, les États-Unis et plus tard par 123 États membres, a été adoptée par l’ONU le 21 mars 2024, reflétant « la prévoyance et l’engagement du Maroc envers le progrès technologique ».
La même source a également souligné que « le rôle de premier plan du Maroc dans la négociation de cette résolution est en ligne avec ses contributions substantielles dans le domaine au sein de l’Afrique ».
Cet engagement est également démontré par l’organisation par le Maroc du premier Forum de Haut Niveau sur l’IA en Afrique à Rabat, en collaboration avec l’UNESCO, où plus de 30 pays ont participé.
« Cet événement a mis en avant l’implication active du Maroc dans l’utilisation de l’IA pour créer des solutions innovantes pour les communautés africaines et promouvoir le développement du continent. »
Cependant, l’article a mentionné que le Maroc est confronté à plusieurs défis pour faire avancer son agenda en matière d’IA, notamment en garantissant des investissements adéquats dans la recherche et les infrastructures en IA, en comblant les lacunes de compétences sur le marché du travail, en gérant les préoccupations concernant la confidentialité des données et en alignant le développement de l’IA sur les normes éthiques.
La même source a souligné que « le Maroc doit naviguer entre les problèmes liés à la perte d’emplois due à l’automatisation, l’utilisation éthique de l’IA et s’assurer que les bénéfices de l’IA soient équitablement répartis dans la société ».
Hespress English
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